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La Consolation de l’Ange – Frédéric Lenoir (Résumé)

Résumé La Consolation de l'Ange de Frédéric Lenoir

Aujourd’hui, je vous emmène à la découverte de ma fiche-lecture personnelle de “La Consolation de l’Ange”, écrit par Frédéric Lenoir. Petite note : cette fiche-lecture se concentre surtout sur les réflexions philosophiques et les pépites de sagesse, mais ne contient pas toute la trame de l’histoire qui se déroule autour de ces réflexions.

Bonne lecture !


Les médias, ce n’est pas la vie des milliards de personnes qui vivent sur Terre. C’est un spectacle, une mise en scène où ils choisissent ce qu’ils veulent montrer. p22

Le conflit a ses vertus. Il permet à l’humanité de progresser (le monde va beaucoup mieux qu’avant !) p24

Trouver l’équilibre entre le confort matériel et notre environnement.

Nombre d’utopies d’hier sont devenues vraies aujourd’hui. Avant, elles étaient moquées, persécutées, puis elles s’instaurent avec le temps.

Joie et souffrance vont de pair. « Plus notre âme a été meurtrie, plus elle peut recevoir de joie » et avoir conscience de ce bonheur.

« Je ressens à la fois mes sentiments et ceux des autres. Et surtout plus rien ne me trouble » p38

Nous n’avons pas tous la même nature ni les mêmes aspirations. Le bonheur dépend de la personnalité de chacun. Pour être heureux, il faut déjà apprendre à se connaître. p42-43

Le bonheur : 50% patrimoine génétique, 10% milieu géographique et culturel où l’on est né, 40% notre regard sur le monde + nos choix de vie. p44

Quand on a un cœur, on est touché par la souffrance de tous les êtres sensibles. p58

« Tant de parents pensent que leurs enfants devraient faire ci ou ça pour être heureux, pour réussir leur vie, alors que s’ils étaient vraiment à l’écoute, ils découvriraient que leurs enfants ne sont pas comme eux […] ». p59

L’amour n’est pas que chimique. Il y a aussi un attachement pour l’Être aimé, unique (exemple d’un enfant…). L’attachement n’est pas opposé à la liberté. Etre libre, ce n’est pas faire tout ce que l’on veut à tout moment. Ce n’est pas être esclave de ses pulsions, désirs et émotions. Ne pas agir en automate en ne cherchant que le plaisir et en évitant la frustration. Il y a des contraintes, des obstacles, des engagements qui nous font grandir et peuvent nous amener à des joies plus profondes et plus durables. Ne pas voir non plus l’attachement comme « possession de l’autre » p63

On s’attache avec le cœur mais on peut rester détaché par le travail de l’esprit qui prend conscience que l’autre ne nous appartient pas. Ce détachement nous permet de supporter ruptures, disparitions, etc. p65-66

On devient un bon être humain à force de pratiquer (pratique des vertus dans la philosophie grecque). Ce que l’on nourrit en nous se développe ; le bon comme le mauvais.

La science réduit tout au matériel, sans envisager qu’il puisse y avoir du « non-matériel », de l’esprit. p84

« Je sais que je vais bientôt quitter ce corps, avec toutes les émotions et les sensations qu’il a vécues… passionnantes ! » p94

La dimension spirituelle de notre être porte plusieurs nom à travers la planète : Esprit, Âme, Conscience…

« Ne voir dans l’Être Humain et dans l’univers que la matière, c’est passer à côté de la moitié de la réalité » (pensée de Spinoza) p95

Les yeux du corps ne peuvent pas percevoir toutes les réalités… il faut voir avec les yeux de l’âme. p97

Expérience terrestre = faire l’expérience de la difficulté pour prendre conscience des belles choses. Pas de « blanc » sans « noir ». On est sur Terre pour faire l’expérience de la dualité, des polarités. p99

« Il y a trois choses fondamentales dans l’univers : la Réalité, la Conscience, et l’Amour. Toutes les expériences vécues sur Terre nous font grandir en humanité, en conscience et en amour. Toute âme n’est pas libre du choix des évènements qui lui arrivent, mais toujours de la manière dont elle va réagir. « Si tu comprends que toute expérience peut te faire grandir, alors tu sauras donner du sens à tout ce qui t’arrive et tu progresseras de plus en plus en joie, en sérénité, en connaissance de toi-même et du monde, et surtout en amour, qui est l’énergie la plus forte et la plus élevée de tout ce qui est ». p111

Pour Spinoza, « Dieu n’est pas un être supérieur et extérieur au monde […] mais un être infini, qui est la substance de tout ce qui existe, tant la matière que l’esprit […] » p139

Si on a une vie intérieure, alors rien ne peut nous atteindre au plus profond de nous. Le bonheur du sage ne dépend pas des évènements extérieurs, toujours aléatoires, mais de l’harmonie de son monde intérieur. p142

La vie nous offre XXX temps de bonheur avec quelqu’un. Si on le perd, se dire que c’était un honneur d’avoir partagé ce temps de bonheur avec = reconnaissance ! S’il s’agit d’un décès, l’autre doit continuer sur d’autres plans et nous seuls sur ce plan. p144

« Le secret de la joie véritable, qui rien ni personne ne pourra jamais t’enlever, n’est rien d’autre qu’un amour inconditionnel de la vie » p146

Etre pleinement présent dans chaque action que l’on fait rend la vie plus intense (se lever, manger, boire, contempler la nature, etc.). Le bonheur commence quand on les savoure en conscience. p152

Il n’y a rien de pire pour être malheureux que d’être toujours dans le mental et d’être coupé de notre corps et de nos sensations. p153

Toujours équilibrer les activités du corps et les activités de l’esprit. p154

« L’Être Humain est constitué de quatre dimensions : le corps, le cœur, l’esprit et l’imagination. Pour se sentir bien et grandir en humanité, il faut faire de l’exercice physique, aimer, penser et rêver » p154

Face à la détresse la plus extrême, on est toujours seul et on doit la traverser seul. p162

Nous sommes tous des monstres en puissance, comme nous sommes tous des saints en puissance. Le bien et le mal cohabitent en nous. Des pulsions destructrices habitent notre inconscient et peuvent agir à notre insu contre nos plus belles valeurs. Certains y résistent, d’autres pas. Si nous voulons nous libérer de nos forces de destruction, il faut commencer par les identifier. p176

« Tout le chemin de ta vie, c’est de passer de l’inconscience à la conscience, de la peur à l’amour » p186

La vie est belle parce que nous savoir voir sa beauté. Elle est aimable parce que nous voulons l’aimer. Tout réside dans notre regard.

Résumé La Consolation de l'Ange de Frédéric Lenoir
La Consolation de l’Ange de Frédéric Lenoir