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Comment voyager seule quand on est petite, blonde et aventureuse – Katia Astafieff (Résumé)

Résumé Comment voyager seule quand on est petite, blonde et aventureuse - Katia Astafieff

Aujourd’hui, je vous emmène à la découverte de ma fiche-lecture personnelle de “Comment voyager seule quand on est petite, blonde et aventureuse”, écrit par Katia Astafieff.

Bonne lecture !


« Adna » en russe signifie « seule ». La question qu’on lui pose le plus souvent c’est « vous n’avez pas peur ? ».

Le top pour visiter un pays, c’est d’avoir un peu de temps (plusieurs mois) et de trouver soit un petit travail, soit un projet humanitaire, soit d’être hébergé contre services. p15

Vraiment éviter les voyages organisés et les lieux hyper touristiques. p20

Il faut savoir poser ses limites, surtout face à des étrangers qui ne connaissent pas nos habitudes/limites (bien s’écouter) p23

Une grande ville reste une grande ville sur Terre, peu importe où l’on va. Si on n’aime pas la ville, n’y aller que de passage. p35

Russie : Pour le transsibérien, le « plazkart » (3ème classe) = plus sécurisant seule car moins isolée. p37 Le voyage en transsibérien est très « brut » en 3ème classe (ronflements, odeurs, transpiration, alcool…). On peut se faire embêter par des personnes alcoolisés dans le wagon. p46-48 A St-Pétersbourg, ils veulent vraiment qu’on mange beaucoup (en forçant parfois !) p41 A Novossibirsk, on peut être soupçonné d’espionnage. Tout le monde suspecte. p51 Toujours veiller à ce que personne ne puisse mettre quoi que ce soit dans nos sacs parce qu’aux frontières, ils sont pas commodes ! A Naouchki, la frontière Russe-Mongolie, les contrôle sont très longs et les douaniers sont très froids. On peut avoir de très gros soucis aux contrôles si on n’est pas clean. p54

 « Voyager, c’est parfois perdre son temps, bêtement, à tourner en rond. Parfois, tout cela mérite le détour. Parfois, rien n’est vraiment magique. Il ne faut pas croire que le voyage est une exaltation perpétuelle, un émerveillement sans fin, une succession de découvertes et de rencontres. » Les écrivains zappent, les touristes mentent car il ne faut pas décevoir. p62

Chine : Dali (Chine) est une très belle ville, très belle architecture, population locale en tenue traditionnelle chinoise, décors de nature magnifiques autour, mais un peu trop touristique. Yangren est « la rue des étranger » dans cette ville. p65-66 Quand on est en Chine, il faut s’habituer au son incessant des crachats partout. La première semaine d’Octobre là-bas, il faut savoir que c’est la semaine où beaucoup partent en vacances. p69 En Chine, il y a de la musique dans le train. Les gens ne paraissent pas propres d’un point de vue français (crachats, curage de nez, rot, etc.). Intéressant à vivre comme expérience bien que pas agréable du tout (elle a dû passer 24h dans un train comme ça). p71-72

Inde : L’Inde, c’est « le pays idéal pour se remettre en question, prendre du recul et voir le monde autrement. Tout intrigue, fascine, déboussole, émerveille ou écœure. » p77 Quand on est une femme seule en Inde, il y a énormément de regards posés sur soi. On se sent vraiment comme une extraterrestre. Qui plus est, là-bas, on n’est « qu’une femme », et les hommes n’hésitent pas à les bousculer, les doubler dans les files, etc. p78 Si un garçon nous accoste en Inde, visiblement pour de la drague, ne surtout pas engager la conversation, sinon il va nous coller et même se permettre d’un peu « beaucoup s’approcher ». p81

« L’ordre cosmique est ainsi fait. Il y en a qui grillent sur un transat avant le buffet du soir, quand d’autres chapardent des œufs sur la plage pour revendre quelques roupies afin de s’acheter un bol de riz. C’est triste à voir tout ça. Mais en voyageant, on finit par se forger une carapace ». (Quand elle parle de l’ordre cosmiques, c’est par rapport au fait qu’elle voyage en faisant des actes humanitaires / écolo alors que d’autre voyagent pour se prélasser). p84

Mongolie : Autour de Oulan Bator (Mongolie), il y a beaucoup de fumée / d’usines. p57 Aller en Mongolie en tant que végétarienne, c’est difficile car il y a presque toujours de la viande cuisinée. L’expérience du transmongolien était superbe ! En Mongolie, le ciel est vraiment magnifique, immense le soir, avec des étoiles à perte de vue. Les espaces sont infinis, la nature, les réserves sauvages, le souffle du vent, la chaleur des yourtes… Un paradis pour les amoureux de la nature. p85-86

Malaisie et Singapour : A Kuala Lumpur, elle est allée au ciné, juste pour l’expérience de voir un film chinois ; il y avait 3 sous-titrages ! p98. Plat incontournable en Malaisie : le « Nasi lemak » (en mangent tout le temps, en grande quantité). p99-100. En Malaisie (comme en Inde) il y a des transports en commun (tous roses) uniquement réservés aux femmes. p101. En Malaisie, il fait très chaud et humide, on transpire beaucoup ! p103-104. A Singapour, le shopping, la mode, c’est très important pour eux ! Là-bas, il est interdit de cracher par terre, sinon, on peut avoir une amende. p106

Thaïlande : Arrivée là-bas, elle a vécu un moment un peu embarrassant où un taxi qui l’a prise a fait exprès de faire mille détours pour se faire payer plus. Ça a eu aussi un côté très flippant car elle se demandait où on l’emmenait. p111. Bangkok est très polluée ; ça se sent et ça se voit. Il y a souvent beaucoup d’embouteillages et beaucoup de bruit. En Avril, il fait 40°C à l’ombre. p115 Bangkok a en réalité un nom de ville gigantesque : « Krung Thep mahanakhon amon rattanakosin mahintara ayuthaya, mahadilok phop noppharat ratchathani burirom udomratchaniwet mahasathan amon piman awatan sathit sakkathattiya witsanukam prasit ». Traduction : « Ville des Anges, grande ville, résidence du Bouddha d’émeraude, ville imprenable du dieu Indra, grande capitale du monde ciselé de neuf pierres précieuses, ville heureuse, généreuse dans l’énorme Palais royal pareil à la demeure céleste, règne du dieu réincarné, ville dédiée à Indra et construite par Vishnukarn ». Là-bas, le métrop est moderne, contrôlé, soigné. Le 13 Avril, il n’y a personne dans les rues, tout est fermé. Le 14 Avril là-bas, c’est Nouvel An et c’est la fête partout dans la rue et surtout, bataille d’eau géante. p116 A 5h30, on cuit déjà dans le train en Thaïlande, c’est très long, et on s’arrête souvent au milieu de nulle part. p119.

Cambodge : On passe la frontière Thaïlande-Cambodge à pied (ou en tuktuk). Le train s’arrête avant, à Aranyaprathet. A l’inverse, pour revenir du Cambodge vers la Thaïlande, ça a été super long et en plein cagnard. p120-121

Maroc : « J’ai évité de choisir un hôtel club avec buffet à volonté pour me contenter d’un modeste hôtel où, le 1er matin, en ouvrant les volets, j’ai eu la joie de découvrir la vue imprenable sur les poubelles et le mur de l’hôtel d’à côté. Je n’allais quand même pas prendre le risque fou de dormir dans un 5 étoiles avec animations débiles ! » p130 « Je lui ai dit que j’attendais mon mari, technique qui fait généralement ses preuves » … Pas là ! p130

« De hauts plateaux montagneux, une contrée mystérieuse, un royaume isolé, de grands espaces, voilà les meilleurs arguments pour me pousser à y mettre les pieds ! » p132

Afrique du Sud : Pietermanitzburg est une ville là-bas assez étrange / flippante. Il y a une atmosphère étrange, des chiens, des barbelés, de la vidéosurveillance partout… Les voitures en Afrique en général sont délabrées, pas d’essuies glaces, pas de phares… p132-134. Elle a pu réaliser à quel point on a vraiment un super confort de vie en Europe, et que c’est loin d’être partout pareil ! p137. En Afrique, elle conseille vraiment de faire attention aux animaux sauvages voleurs ! Ne jamais laisser ses affaires sans surveillance ! p141

Panama : Là-bas, une « cantina », c’est un bar très déconseillé aux femmes, même accompagnées ! C’est un bar à Hommes où on y sert que de l’alcool. p146 Le bus à Panama est tellement surchargé qu’il roule les portes ouvertes ! p149

« Je songe déjà à la suite que je pourrais écrire […] j’ai déjà le titre « Comment voyager seule quand on est petit, vieilles et ratatinée ». p170

Résumé Comment voyager seule quand on est petite, blonde et aventureuse - Katia Astafieff
Comment voyager seule quand on est petite, blonde et aventureuse – Katia Astafieff