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La Vie en Abondance – Irène Grosjean (Résumé)

Résumé La Vie en Abondance de Irène Grosjean

Aujourd’hui, je vous emmène à la découverte de ma fiche-lecture personnelle de “La Vie en Abondance”, écrit par Irène Grosjean.

Bonne lecture !


« Si tu savais remercier la vie pour toutes les richesses qu’elle te donne, tu n’aurais plus de temps pour te plaindre. »

Les quatre lois de base de la Vie, de notre fonctionnement qu’il faut respecter : La Respiration, l’Alimentation, le Sommeil et l’Elimination. p23 Pour ne pas les ignorer = se relier aux fréquences de la VIE

« Quoi que nous fassions, nous ne pourrons jamais capter les idées pour lesquelles nos cellules ne sont pas programmées. Raison pour laquelle un mathématicien s’intéresse d’abord et avant tout aux mathématiques et un philosophe à la philosophie. » p34

Il nous est impossible de nous passer de l’énergie VIVANTE pour le vivant, tout comme la voiture a besoin de l’essence pour son moteur, ou l’électricité pour un appareil électrique. p43

L’erreur de faire cuire nos aliments « nous a fait perdre notre instinct sous l’influence des fréquences basses de la peur et de l’ignorance : nous l’avons remplacé par l’intellect, qui allait certes nous permettre de faire des choses extrêmement intéressantes, mais dont nous avons fait un enfer de souffrances, de guerres et de maladies ». p59

Hippocrate disait « que l’aliment soit ton seul remède ! », et il demandait au médecin de « guérir sans nuire ». p74

« Sous l’influence de la peur et de l’ignorance des lois de la vie auxquelles nous sommes forcément reliés, nous qualifierons de maladies ces crises d’élimination qui, comme le disaient les vieux japonais, sont des crises guérisseuses, et nous chercherons à les supprimer au plus vite. » p76 « Alors que sous l’influence de la peur et de l’illusion issues des fréquences basses et inversées, nous nous contentons de chercher à arrêter ces crises libératrices au plus vite, sans réaliser que pour ce faire, nous devons empêcher notre corps d’éliminer ses résidus qu’il devra obligatoirement refouler dans ses profondeurs où nos cellules, de plus en plus empoisonnées, se mettront à aimer, à demander, à exiger les produits qui fabriquent les poisons dans lesquels elles baignent. […] Ce piège infernal nous relie à des fréquences d’autant plus basses et inversées que nos chères petites cellules sont carencées et intoxiquées. » p77

Ce que nous mangeons nous définit => Les seigneurs (saigneurs) : Dominateurs et guerriers, mangeaient beaucoup plus que nécessaire, et de tout (surtout viandes, produits laitiers, etc.). D’ailleurs les seigneurs perdaient tous leurs cheveux, brûlés par une trop forte concentration d’acide urique dans leur corps que ce dernier n’arrivait plus à éliminer ! Et le peuple : nourri de bouillies et de féculents (sucres lents), ce qui ralentissait sont fonctionnement cellulaire, le rendant timide, peureux, soumis, corvéable…

Le jour où le corps dispose d’un surplus d’énergie (alimentation plus vivante, premiers soleils, printemps, foins, bourgeons, pollens – qui ne sont que des éléments qui déclenchent l’expulsion…), il cherche à éliminer ses résidus. => « Expulsion que nous avons appelée allergie et qui serait impossible si notre corps n’était pas chargé de résidus… » p81

« Chaque fois que nous avons des douleurs ou mal quelque part sans avoir reçu le moindre choc, c’est que notre corps est en train de faire passer ces petits cristaux de l’état solide où ils ont été stockés à l’état liquide, pour les conduire dans les reins, chargés de les éliminer dans les urines ou la transpiration. Et qu’aussi douloureuse ou brûlante que soit cette transformation, nous ne devrions pas nous inquiéter, mais nous réjouir ! » p82 « Et là, soit nous avons la chance d’être encore relié à l’intelligence de la vie qui nous guidera vers le thérapeute qui saura aider notre corps à se libérer pour retrouver rapidement notre bien-être et notre santé, soit sous l’influence de fréquences basses auxquelles nos cellules carencées et empoisonnées sont forcément reliées, nous chercherons donc à supprimer le plus rapidement possible ces symptômes si douloureux ou pénibles et gênants. Exactement comme nous nous contenterions d’éteindre le voyant rouge qui s’allume sur le tableau de bord de notre voiture, sans chercher et sans modifier la raison pour laquelle il s’est allumé. » p83-84 La maladie n’est pas une fatalité, mais juste un voyant rouge que notre corps allume pour signaler que quelque chose est à modifier dans notre comportement. p123

« Rappelons-nous qu’aussi puissantes et violentes que soient les crises d’élimination, celles-ci n’ont d’autre but que celui de remplir leur fonction : libérer le corps de ses résidus. » p89 Ce que nous avons appelé « maladie » n’est en fait qu’un moyen de protéger notre santé. (Nous parlons ici bien sûr de crises d’éliminations fonctionnelles et lésionnelles qui, à force d’être « soignées » comme nous avons appris à le faire, nous a fabriqué de véritables maladies que sont les maladies dégénératives). p121  Rappel : quand le corps est malade, c’est qu’il nous demande de l’aider à éliminer, à se libérer des poisons en lui.

Lorsqu’un système est surchargé, épuisé (reins, intestins…), il cherche le système d’élimination de secours le plus solide dont il dispose dans le corps du concerné (exactement comme un père vieillissant demanderait à son fils le plus solide de faire les travaux qu’il ne peut plus faire). p90

« Pourquoi, comme les vers, les microbes, les virus et tous les prédateurs ne seraient pas nécessaires à l’écologie de notre système. […] Lorsque notre corps prépare une crise d’élimination, comme toute bonne ménagère, il doit tirer les meubles, vider les tiroirs et faire les coins pour débusquer les saletés qui s’y cachent […] Cette transformation révélant un certain état de décomposition et de puanteur, il semblerait normal qu’elle attire les microbes, les virus, les colibacilles et les parasites de tous ordres pour se régaler de leur nourriture de prédilection. » p97 Lorsque l’on dit que ce sont les microbes qui nous rendent malades, c’est comme si on disait que ce sont les vers qui ont tué le cadavre, ou les mouches qui ont rempli la poubelle de saletés… C’est simplement leur attirance pour cette nourriture qui les a avertis – comme les microbes.

Les Constitutions

Quatre constitutions ; solide, fonctionnelle, lésionnelle, dégénérative. 1er niveau => Corps harmonieux, solide, résistant / peut se permettre des fantaisies alimentaires que le corps peut accepter sans dégénérer, relié aux fréquences de la vie / possibilité de faire de très violentes crises d’élimination. 2ème niveau => Nécessité de le nettoyer et de le régénérer régulièrement / tendance à être attiré par des aliments excitants et empoisonnants. 3ème niveau => maladies fonctionnelles, lésionnelles, chroniques / système de défense faible / constitution dégénérative. 4ème niveau => Constitution génétique. En dehors des sujets de premier niveau, les autres ont tout intérêt à manger des aliments qui leur apporte un maximum d’énergie / les sujets de constitution dégénérative doivent se conformer aux lois de la vie pour éviter de devenir malades. Constitution génétique = avec nos connaissances actuelles, tout ce qui a été détruit avant la naissance a peu de chance de se reconstruire. Le plus important est de faire tout ce qu’il faut pour ne pas en arriver là.

Colles et viscosités

Il faut cesser d’enlever les organes encrassés (ce qu’on fait avec les amygdales par exemple). C’est comme si un plombier enlevait le siphon d’un évier bouché plutôt que de le nettoyer et de l’empêcher de s’obstruer. Et… Il est facile de prévoir que la prochaine fois qu’il faudra appeler le plombier, celui-ci devra aller plus profondément chercher les déchets que le siphon manquant n’a pu retenir et dans des endroits IMPROBABLES. Le corps créé alors un nodule ou une tumeur pour y envoyer ses déchets. « Pourquoi ce qui n’a pas eu besoin de bistouri pour s’installer dans notre corps devrait en avoir besoin pour le quitter ? ». (p135) Les colles et viscosités sont des troubles non douloureux mais pénibles et gênants provoqués par les résidus des sucres lents. Ces glaires sont des résidus que notre corps n’a pas été capable d’évacuer dans les selles, et sont responsables de nombreux troubles dans l’organisme. Les organes s’encrassent et/ou fonctionnent moins bien (amygdales, tyroïde, vagin, foie (hépatites), putréfaction intestinale, ralentissent de l’irrigation des yeux qui nous fait perdre la vue petit à petit – pareil pour la surdité) + acné, verrues, lipomes, ronflements, hémorroïdes, varices. Les colles et viscosités doivent s’évacuer par les intestins, si elles n’y arrivent pas, elles vont essayer par les voies respiratoires, cutanée, et en dernier recours, la voie rénal (qui n’est absolument pas prévu pour ça). L’urine devient alors pâle comme de l’eau et n’élimine plus les acides.

Acides et Cristaux

Les acides oxydent le sang, détruisent le fer (parfois origine d’anémie), rhumatismes, douleurs articulaires, hernie discale, mal au dos, cholestérol, lithiases, calculs, névralgies, névrites, sciatiques, tendinite, toutes les ”algies”… Ils détruisent et brûlent nos cartilages. Présents à l’état solide dans le corps, on ne les sent pas. Mais quand le corps veut les éliminer et qu’il doit les faire passer de solide à liquide, leur nature acide brûle tout ce qui a autour. Les cristaux d’acide abîment aussi nos dents, nos ongles, nos yeux, nos oreilles + cheveux cassants pauvres et secs.  + Peaux sèches et démangeaisons. Règles douloureuses : surcharge d’acide aussi. Hypertension= le cœur tire quand il n’a plus de possibilités de faire sortir des choses à travers des émonctoires enlevés. Cristaux= aigreurs d’estomac, ulcères, gastrites, fistules anales… Brûlent, détériorent, affaiblissent certains organes. Les antalgiques et les antiinflammatoires agissent comme si on coupait le fil du téléphone pour appeler les pompiers quand la maison brûle, de manière à ce que le cerveau ne soit pas dérangé par ce qui est en train de brûler. Mais cela n’empêche pas la maison de brûler… A chaque fois que le corps veut éliminer des acides, on aura mal aux endroits où ils se sont emmagasinés le plus (articulations, etc.).

Maladies psychiques et mentales 

Importance de la propreté des liquides dans lesquels nos cellules baignent (travaux du Dr Alexis Carrel). Les troubles psychiques et mentaux sont d’origine cristalloïdes s’ils sont douloureux, et colloïdaux s’ils sont non douloureux mais pénibles. Comme pour les maladies physiques, on a des crises aigües fonctionnelles sur des sujets solides (chemin de guérison facile et rapide), des crises lésionnelles sur les sujets moins solides (chemin de guérison plus long et délicat) et des crises dégénératives pour les personnes fortement intoxiquées (chemin de guérison difficile, long). Crises cristalloïdes = colères // crises colloïdales = bouderies, blocages, idées fixes, rancunes, enfermements. Colloïdaux : besoin de temps pour prendre une décision, avoir du mal à saisir les opportunités qui se présentent, dire plus facilement non que oui, être renfermé, rancunier… Cristalloïdes : s’emballer, être colérique, nouvelles idées H24, à décider très vite (parfois trop vite), entreprendre des réalisations sans les terminer, être en avance partout où on va.  On n’est jamais totalement l’un ou l’autre mais un mélange des deux. Les colloïdaux ont besoin de chaleur alors que les cristalloïdes ont le sang chaud (chargé d’acide). Il y a toujours un lien entre ce que l’on mange et notre état d’esprit quelques heures après – quelques temps après (surtout quand les cellules ne sont pas habituées à certains poisons).

Nettoyer son organisme et lui apporter de l’énergie

Dès que le corps dispose d’un peu plus d’énergie que celle dont il a besoin pour accomplir ses tâches journalières, il l’utilise pour rétablir son équilibre et éliminer +++ p171. Plus les cellules baignent dans un milieu empoisonné, plus elles exigent le poison dans lequel elles baignent. « Combattre » une maladie n’a rien à voir avec protéger et améliorer sa santé. Ce qui n’est pas éliminé est enfermé dans les humeurs. De nombreuses pathologies ne peuvent se guérir durablement et efficacement qu’en respectant les lois de la vie. Les cheveux aussi peuvent repousser, même après une longue période d’encrassement, avec une alimentation qui respecte les lois de la vie. Mais pour la majorité des êtres humains, il est beaucoup plus facile de prendre un médicament ou de se faire opérer que de changer ses habitudes alimentaires. p182 Plus le corps est bien nourri, plus il a de l’énergie pour expulser la toxémie enfermée. p186 Un enfouissement profond de la toxémie peut finir par envahir les nappes souterraines, et donc les liquides cérébraux. Carencés, empoisonnés, conditionnés, nous n’imaginons même plus que le bon sens puisse exister. p229 Même si les techniques psychologiques et DP nous sont infiniment précieuses pour être dans la joie et le bonheur, on ne peut pas de passer de notre corps et on doit donc toujours prendre soin d’oxygéner et d’alimenter les cellules qui le composent, en plus de nettoyer les liquides dans lesquels elles baignent. Nous ne pouvons attirer à nous des éléments bas et destructeurs seulement si nous sommes reliés aux basses fréquences de la vie, à des fréquences inversées. Il nous reste à faire ce qu’il faut pour nous relier aux fréquences élevées.

Énergie + Propreté cellulaire = Santé

Les maladies graves

Le fait de « guérir » des maladies (ou plutôt de les faire taire avec notre science), en plus des vaccins créent des maladies de plus en plus graves et profondes, allant jusqu’aux maladies génétiques ; On a fait un vaccin pour la variole = elle a disparue mais la fièvre typhoïde est apparue, pour laquelle on a fait un vaccin = elle a disparue et la poliomyélite est apparue, on a fait un vaccin = elle a disparu et la myopie est apparue…. p192 Le cancer n’est que le fruit de nos multiples erreurs – comme toutes les autres maladies. p194 => On doit reconstruire notre énergie pour que notre corps expulse les toxines qui l’amènent à dégénérer (pas en le combattant). Enlever un organe ou une tumeur ne modifie en rien le terrain d’un malade, qui est le seul à pouvoir l’aider à reconstituer sa santé. Pour les maladies dégénératives, la médicalisation est souvent indispensable. Le rôle du naturopathe, c’est d’éviter que la maison brûle. Mais si elle est en feu, il faut appeler les pompiers (la médecine allopathique) ! Ensuite, le naturo vient pour voir éventuellement ce qu’il peut réparer des dégâts causés par les pompiers quand ils devaient éteindre le feu. = la médecine allopathique est une médecine d’urgence. p196 (Irène rêve d’une médecine où allopathie et naturopathie se conjuguent parfaitement). Il arrive souvent qu’une maladie d’enfance importante « soignée » par la médecine devienne source d’infirmité à l’âge adulte. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas soigner les enfants, mais simplement aider leur petit corps à expulser ce que nous leur avons transmis plutôt que de l’enfermer. p205 On saborde les moyens de protection de nos enfants en l’empêchant d’éliminer à chaque fois que quelque chose se manifeste. Une maladie qui arrive est là pour nous signaler que le seuil de toxémie de l’enfant est dans le rouge et qu’il faut la faire diminuer. p215 Sida = terrain à tendance colloïdale / Cancer = terrain à tendance acide. Comprendre que l’on doit modifier nos erreurs qui ont généré la maladie. Un corps qu’on empêche d’éliminer ne fait plus des maladies fonctionnelles mais lésionnelles ou dégénératives.

Sont-ce les mêmes animaux qui tournent autour de l’eau d’une rivière pure en montagne et ceux des égouts de paris ? Non… Il en est de même pour les microbes qui sont attirés par un terrain encrassé…

La Respiration

La pratique de certaines respirations produit tellement d’énergie que, comme avec l’alimentation vivante, le corps peut faire de violentes crises d’élimination psychologiques et mentales (bénéfiques si c’est maîtrisé, ou avec de graves conséquences si elles ne le sont pas) p239L’oxygène serait plus important que l’alimentation selon les méthodes du prânisme et du respiranisme.

L’alimentation

Classement alimentaire = aliments biogéniques (qui engendrent la vie), bioactifs (qui la soutiennent), biostatiques (quand il la ralentissent, biocidiques (quand ils la détruisent). 1. Biogéniques : aliments fraichement cueillis, vivants, crus. Légumineuses germées et graines germées= top pour l’apport en protéines ; très bon carburant en plus d’être régénérateur et peu onéreux. Les graines germées étaient la nourriture des Esséniens, qui avaient une santé, une joie de vivre et une spiritualité incomparables. p243 2. Bioactifs : Consommés longtemps après la cueillette, parfois cuits, légumes lacto-fermentés, algues, fruits de mer (à ne pas confondre avec les crustacés), le miel, les levures, les eaux minérales en bouteille et les infusions. Bien qu’ayant perdu une partie de leur énergie, ces aliments restent quand même très favorables à notre santé. 3. Biostatiques : pommes de terre, tubercules cuits au four ou à l’eau, les châtaignes, les céréales complètes, les pâtes, les pâtisseries, le pain complet, les œufs peu cuits, les fromages frais, le poisson sauvage, la volaille biologique, les pâtés végétaux, les champignons cuits, le sucre roux, le sirop d’érable et tous les aliments complets et naturels. 4. Biocidiques : les tueurs de vie = viandes rouges, gibiers, charcuteries, crustacés, alcool, tout ce qui est raffiné, pizzas, pains blancs, ris blanc, pâtes blanches, pizzas, hamburger, beignets, fritures, volailles, œufs et poissons d’élevage, margarines hydrogénées, beurre, crème, fromages et produits laitiers industriels.

Les fruits acides sont d’excellents destructeurs et solvants d’acide urique dans le sang (donc écoutez votre corps et offrez-lui les fruits qu’il demande). Nos goûts ont pour mission de détecter les fruits et légumes dont ils ont besoin pour satisfaire les besoins physiologiques. p257 Pommes, poires, bananes = on peut les manger seules ou accompagnées de noix, noisettes, amandes, fruits secs. Cerises, abricots, pêches, brugnons = ils sont très suffisants à eux seuls à la bonne saison. Les fruits n’aiment pas la promiscuité, donc à distance des repas ! L’ail = cristalloïdaux / Oignons finement coupé = Colloïdaux.

Pour bien traiter notre corps, tout comme une voiture, on doit lui donner le bon carburant, tout en faisant l’entretien et les vidanges qui s’imposent.

Pour traiter l’obésité, il ne faut pas seulement réduire l’alimentation, il faut avant tout leur donner l’énergie dont ils ont besoin pour éliminer.

On a compris avec la vache folle les conséquences d’une alimentation non adaptée à leur physiologie, mais combien de temps prendront nous encore pour le comprendre pour l’humain ?

Pour se poser les vraies questions, il faut être relié à l’intelligence de la vie. Des cellules fragilisées, carencées empoisonnées ne peuvent se relier qu’aux seules fréquences qu’elles peuvent atteindre (=aussi basses et destructrices que ce avec quoi elles sont nourries).

Jeûnes et Monodiètes

Le jeûne et le repos permettent à notre corps d’utiliser toute son énergie pour éliminer nos résidus, permettant de guérir des maladies et de se relier à des fréquences plus élevées. p274 Le jeûne est la plus ancienne et la plus naturelle technique de guérison du monde humain et animal. Jeûne hydrique = plutôt pour les cristalloïdaux / Jeûne sec = plutôt pour les colloïdaux. Monodiète de raisin = bénéfique pour les surchargés sanguins. Le jeûne offre à nos cellules un bain de propreté.

Les purges

On nettoie nos humeurs en purgeant (ce n’est pas juste une vidange intestinale). Il ne suffit pas de nourrir correctement notre corps pour retrouver la santé, il faut aussi le nettoyer intérieurement (comme il ne suffit pas de mettre des meubles propres dans une maison sale). Attention cependant, une purge est un forcing que nous imposons à notre corps c’est pourquoi, s’il est bon d’en user, il ne faut pas en abuser. p289 Purge saline (pour les cristalloïdaux = chlorumagène, magnésie san pellegrino / pour les colloïdaux = huile de ricin). p294 => par contre, si les reins des cristalloïdaux sont pleins de viscosité, les purges salines ne serviront à rien ; ils doivent d’abord dégager les reins avec le Ricin pour ensuite purger avec la magnésie ou le chlorumagène. p297 Les purges salines sont plus pour les douloureux physiques, psychologiques ou mentaux. Les purges huileuses le sont pour les enrhumés, bronchiteux, asthmatiques, timides, angoissés et ralentis colloïdaux. p299 A quelle fréquence ? Quand nous nous sentons mal et au printemps et à l’automne.

L’eau

L’eau est la seule véritable boisson pour l’Homme, les animaux et les plantes. L’eau chimiquement pure de nos robinets n’est pas une eau propice à la vie. Les douches rectales faciliteraient le sommeil (en plus d’une douche vaginale pour les femmes). Faisons aussi de nombreux petits lavages comme celui du nez, de la gorge ou des yeux (les oreilles seulement s’il y a des douleurs). p306 Le bain dérivatif accélère toujours le rétablissement (c’est une zone avec beaucoup de ramifications nerveuses et la friction + l’eau froide tonifie et vitalise par système réflexe le grand sympathique. p310 Les bains chauds aident à éliminer l’acide urique. Seules les personnes qui transpirent facilement peuvent faire un bain hypercalorique (sinon c’est le malaise). Le chaud = pour les nerveux / le froid = pour les bouillonnants, sanguins… p313 Douche écossaise = douche chaude puis sur la fin froide (rapidement). p314 Bains de pieds chauds : migraineux, insomniaques, troubles psychologiques (associé avec douche rectale). p315 Bains de siège de Rika Zaraï : se plonger 10min dans l’eau froide jusqu’au nombril. p316 Les bains chauds nettoient, les bains froids vitalisent. p317

L’exercice physique

L’homme est un être de mouvement. Le mouvement facilite sa respiration, sa nutrition et l’élimination. Même les êtres les plus forts ne résistent pas à la sédentarité. Le sport : travail de la force, la vitesse (attention, après 40 ans déchirures musculaires sur les sujets acidifiés), l’adresse (tir à l’arc, jonglerie, équilibre…), la souplesse (souvent un peu plus féminine) et la résistance (souvent un peu plus masculine). Sports physiologiques : marche à pieds, course, cyclotourisme, tennis, ski, natation, foot entre amis, etc. (Le tout hors compétition). L’entraînement musculaire bien compris produit un gain de vitalité qui se remarque par une grande résistance aux maladies, en plus de procure un embellissement physique.

Le Sommeil

Le sommeil est plus réparateur dans la première partie de la nuit que dans la seconde (Le sommeil d’avant minuit compte double). Le nombre d’heures de sommeil dont nous avons besoin dépend de notre constitution et de notre système glandulaire. Pour la constitution solide : 4-5h de sommeil peuvent suffire (et ils se réveillent en pleine forme). Ceux un peu moins solides auront besoin jusqu’à 9h de sommeil. Les idées stressantes et/ou soucis ne nous empêchent de dormir que si nous sommes en fréquences basses (mauvais entretien des humeurs, nourriture de mauvaise qualité). Quand elle a du mal s’endormir, elle se purge et fait 1 jour ou 2 de diète. Pb de sommeil : bain chaud, marche à pieds, repas de fruits le soir (ou de légumes crus), huile essentielle de lavande, infusion tilleul, marjolaine, mélisse, verveine… En cas de pb de sommeil compliqués : séances de relaxation, grosse réforme alimentaire, et plan de remis en forme sur la circulation de nos énergies / humeurs. La relaxation (quand le cerveau se met au repos de toutes ses fonctions habituelles) permet de se reconnecter à des fréquences plus élevées – là où il y a une solution à tous nos problèmes. La relaxation n’est pas une perte de temps, mais un moyen d’en gagner.

Techniques complémentaires

Magnétisme = comme on brancherait la batterie d’une voiture déchargée à celle d’une voiture chargée pour la faire démarrer. Le magnétisme est très précieux quand on a besoin d’énergie mais ne nettoie en rien nos humeurs. L’ostéopathie, les massages, la chiropraxie, la réflexologie, l’acupuncture sont aussi fort intéressants pour déloger des barrages résiduels. + Nettoyage du foie et de la vésicule biliaire. Ces techniques sont à utiliser en compléments de l’alimentation, la respiration, le sommeil et l’élimination (ils restent toujours prioritaires).

Le pouvoir de la pensée 

L’amour et la pensée positive sont aussi dépendants de la qualité et du fonctionnement de nos cellules. L’amour et la pensée conditionnent tous les éléments de notre vie, mais pour bien aimer, bien penser, nous ne pouvons pas passer à côté de notre corps et des cellules qui le composent (tout comme on ne peut pas se passer du téléphone pour téléphoner, et que la qualité de la communication dépend en partie de la qualité du téléphone). Comme il suffit de passer au-dessus des nuages pour voir le soleil, il suffit de changer de longueur d’ondes pour changer nos pensées et nos sentiments vers des idées positives, heureuses et constructrices. Une nettoyage cellulaire nous permet déjà de changer de longueur d’ondes avec des sentiments et idées plus élevés. La cause de toutes nos souffrances psychologiques et émotionnelles se trouve dans la mauvaise qualité de nos humeurs.

« Sachez monsieur, qu’en aucun cas je n’imagine ce que je ne veux pas qu’il m’arrive ».

Charles Aznavour

Les bienfaits de la vie sont illimités et seules nos craintes et nos peurs nous empêchent d’y croire et de les obtenir.

Une idée forte peut traverser des générations pour se réaliser = Patrick Drouot

Faire très attention à ce qu’on pense, dit et imagine car ces éléments agissent en permanence sur notre conscient et notre inconscient pour attirer dans notre vie absolument tout ce que nous émettons. Evitons donc d’évoquer sans cesse nos malheurs, nos malédictions, ou nos éventuels besoins de vengeance… Le temps que nous utilisons à penser à ce qui ne va pas est du temps en moins pour penser à programmer ce qui va bien. Quand quelque chose ne va pas, c’est que consciemment ou inconsciemment nous l’avons programmé. Nous pouvons alors le déprogrammer et le reprogrammer comme nous le souhaitons.

Plutôt que de se fixer sur ce qu’on a perdu, essayons de se fixer sur ce qui nous reste. p359

Pour donner du bonheur, il faut en avoir. Et comme un jardinier il faut entretenir son jardin en cultivant mais aussi en enlevant les mauvaises herbes quand elles se présentent (= écouter quand quelque chose ne va pas, ne pas ignorer !).

A défaut d’avoir ce qu’on aime, apprendre à aimer ce que l’on a. p362

Un problème relationnel ? Répéter « ensemble » jusqu’à ce que l’animosité envers l’autre se calme. Problème de santé ? répéter « santé » (et/ou l’écrire +++). Fin de mois difficiles ? Répéter + écrire Abondance et prospérité…

Comme toutes les véritables richesses, la santé ne s’achète pas, elle se protège, elle s’entretient, elle se répare avec les éléments que la nature a prévu pour elle. La véritable richesse, la richesse première, c’est d’être en parfaite santé.

Résumé La Vie en Abondance de Irène Grosjean
La Vie en Abondance de Irène Grosjean